SYNOPSISPendant les grandes vacances, Mme Ricochet a invitéquelques personnes de sa famille et des amis à passer unweek-end dans sa résidence d’été. Mais, quelquesévénements imprévus vont venir perturber ce moment dedétente.NOTE DU METTEUR EN SCENELe boulevard a toujours été considéré comme un art mineur.L’art de plaire aux spectateurs par des effets faciles.En réalité quand nous abordons ce genre, il nous apparaîtque cela est plus compliqué qu’il n’y parait. Faire rire n’estpas si facile et si l’on veut que les spectateurs soientaccrochés aucune fausse note n’est permise. Une bonneénergie rythmique est nécessaire afin de mener à bien cegenre de comédie.Par ailleurs ce rire n’est pas gratuit puisque la dramaturgiedépeint les couches sociales bourgeoises de la société del’époque qui peut se traduire par un phénomène decatharsis.En ce qui nous concerne nous avons à faire à l’adultère.L’amour et la fidélité sont des thèmes toujours d’actualité.En fait, le théâtre de boulevard est une bonne comédie demœurs.Philippe Haug, Compiègne 2010NOTE DE L’AUTEURCette pièce fait intervenir 12 personnages plus atypiques lesuns que les autres. L’amour, la cupidité, la trahison, un petit cocktail dequiproquos qui font du « Valet de trèfles » une comédie demœurs burlesque où chacun trouvera sa part de rire et unetranche de sa propre vie dans ce pacte merveilleux etcompliqué qu’est le mariage.En toile de fond, un regard sur la naïveté face à la solitudequi peut se révéler dangereuse dans une quête éperdue del’amour.Vic de Lubac, Compiègne 2010« Dans la plupart des amours, il y en a un qui joue et l’autrequi est joué ; Cupidon est avant tout un petit régisseur dethéâtre ».Friedrich NietzcheCréation pour le Festival de la Culture à La Croix Saint-Ouen (Commune limitrophe de Compiègne), Juin 2010/11